Ces derniers jours, l’opinion a été abreuvée de propos mensongers et diffamatoires tenus par le Sénateur Alphonse Ngoyi Kasanji, prétendant à tort que le Président Gabriel MOKIA aurait reconnu, devant le ministre d’État à la Justice, ne pas disposer de titre légal sur un bien immobilier qu’il occupe à Kinshasa. Kasanji va jusqu’à parler de spoliation, de fraude et d’irrégularités dans une affaire pourtant tranchée depuis plusieurs années par les juridictions compétentes. Face à ce discours basé sur des affabulations manifestes, le Comité de Communication du MDCO tient à rétablir les faits et rappeler les principes de droit.
Le Comité de Communication du MDCO (CCMDCO) tient à réagir avec fermeté face aux accusations mensongères et aux insinuations hasardeuses récemment relayées dans certains médias par le Sénateur Alphonse Ngoyi Kasanji au sujet du Président National Gabriel MOKIA.
Contrairement à ce qui est affirmé, le dossier foncier en question a été définitivement tranché par les juridictions compétentes. Il s’agit d’un bien acquis par Gabriel MOKIA à l’issue d’une vente publique validée judiciairement. Cette acquisition repose sur des décisions de justice exécutoires et sur des documents légaux irréfutables, dont le certificat de vente publique et les pièces attestant de la régularité de la procédure.
Le CCMDCO rappelle qu’un ministre, fût-il ministre d’État en charge de la Justice, ne dispose d’aucun pouvoir pour annuler ou remettre en cause une vente publique validée par la justice. Le rôle du ministère n’est pas de substituer aux juridictions, encore moins de réécrire l’histoire judiciaire d’un dossier clos.
Ce que certains présentent comme une « confrontation » n’était qu’une tentative maladroite de relancer un dossier définitivement réglé, en dehors des voies légales. Or, le droit congolais est clair : seul un jugement ayant force de chose jugée peut fonder ou contester un droit de propriété. En l'espèce, ce jugement existe, et il donne raison à Gabriel MOKIA.
Le CCMDCO invite donc les acteurs politiques à ne pas instrumentaliser les institutions pour des règlements de comptes personnels. La justice ne se fait pas dans les médias ni sur les réseaux sociaux, elle se fait devant les cours et tribunaux.
Nous appelons au respect de la séparation des pouvoirs et à la préservation de l'intégrité de l'État de droit. Toute tentative d’outrepasser les décisions judiciaires ou d’influencer indûment un dossier juridiquement clos exposerait ses auteurs à des poursuites pour ingérence et obstruction à la justice.
Gabriel MOKIA n’occupe pas une maison, il en est le propriétaire légitime. Ce fait est établi. Tout le reste n’est que théâtre politique et manipulation de l’opinion.
Fait à Kinshasa, le [date du jour]
Pour le CCMDCO
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